Quelques jours seulement après que l’hôpital André-Mignot du CH de Versailles ait été victime d’une cyberattaque, nous apprenons que le CH d’Argenteuil dans le Val-d’Oise, a lui aussi été la cible d’une tentative de piratage. Tentative seulement, car l’attaque a pu être détectée et stoppée à temps.

Ce barrage a permis de protéger l’hôpital et ses données

Effectivement, les équipes informatiques de l’établissement sont parvenues à bloquer l’intrusion. Ce barrage a permis de protéger l’hôpital et ses données. C’est ce que confirme l’établissement : « aucune violation de données n’a été relevée à ce stade ».

A ce stade, l’hôpital a déposé une plainte et confirme : « l’activité hospitalière n’a pas été perturbée et l’ensemble de nos services restent opérationnels ».

Un scénario à la fin plus favorable, quand nous connaissons l’impact que représente une cyberattaque sur un établissement infecté. Ce dernier, lorsque cela se produit, n’a d’autre choix que de passer en « mode dégradé ». Un terme qui devient malheureusement de plus en plus commun au fil du temps et que nous explicitons un peu plus, dans notre précédent article sur la cyberattaque contre le CH de Versailles.

Il existe plusieurs moyens de se protéger contre ce type d’attaque. Certains sont d’ordre technique et directement liés au SI, d’autres concerne l’humain, premier facteur de faiblesse en ce qui concerne les cyberattaques.

Deux solutions accessibles pour palier à cela : la sensibilisation et la formation. Des méthodes que propose HappyFuture via des parcours e-Learning immersifs. Un mix entre activités d’ancrage, pour retenir les bons gestes et des mises en situation virtuelles, pour vivre et prendre position sur des contextes à risques en matière de cybersécurité. Pour découvrir le dispositif, nous vous donnons rendez-vous👉 ici