Dans la nuit du 3 décembre, l’hôpital André-Mignot du CH de Versailles a été la cible de pirates informatiques, probablement un Ransomware. Un type de cyberattaque bien connu des établissements de santé. L’attaquant s’empare de données confidentielles et souvent sensibles, puis réclame une somme d’argent à ses propriétaires respectifs, où comme ici, à un établissement de santé. La machine du chantage est alors enclenchée et si la victime refuse de payer la rançon, alors le pirate menace de dévoiler ces informations. Un scénario catastrophe qui s’est malheureusement produit pour l’hôpital de Corbeil-Essonnes en août dernier.

Un nouveau malheur donc, qui accentue des chiffres déjà alarmants concernant les cyberattaques à l’encontre des établissements de santé sur cette année 2022.

Pour rappel, ce type d’événement impacte directement l’organisation de l’établissement victime, qui bien souvent n’a d’autre choix que de passer en « mode dégradé ». Un retour au crayon et au papier📝 pour le personnel soignant, qui pénalise les patients eux-mêmes.

« certains patients décèdent au cours de l’opération »

🤒 Certains se voient déprogrammés par sécurité, d’autres sont contraints de rester plus longtemps en hospitalisation et plus grave encore, certains patients décèdent au cours de l’opération à cause de moyens de communication et d’accès à l’information, complétement brouillés.

Un sujet grave donc, qu’il s’agit de prendre au sérieux. D’autant plus quand l’erreur est majoritairement humaine et par conséquent, qui peut être évitée si on sait s’en prémunir.

C’est là le rôle fondamental de la cybersécurité en santé.

Un axe de sensibilisation sur lequel HappyFuture intervient grâce à des parcours eLearning. Ces derniers mêlent activités pédagogiques et saynètes vivantes, pour une mise en situation en hôpital.

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